Trois des quatre membres des Bebeats: Fabiola Toupin, Christian Laflamme et Marie-Anick Châteauneuf. Absente de cette photo: Marilyne Berthiaume. Photo, L’Hebdo Journal
Une autre façon de présenter une chanson, c’est de l’accompagner uniquement de percussions; les Bebeats s’y emploient depuis quatre ans.
Vendredi soir le 25 novembre à 20h, la Maison de la culture remet un passeport de rêve au groupe de percussions/voix Les Bebeats. La Corporation de développement culturel de la ville de Trois-Rivières qui produit le spectacle offre par le fait même aux Bebeats une sorte de consécration.
«C’est une marque de confiance de la part de la Ville», résume Fabiola Toupin, membre du groupe. «Ce n’est pas un tam-tam-jam qu’on présente; c’est très ficelé», explique un autre membre, Christian Laflamme.
Pour sa part, Marie-Anick Châteauneuf ajoute: «Nous allons même avoir dans le spectacle des danseuses «africaines»: Manon Palardi, Véronique N’kyeri, Marianne Pélissier, Lysandre Murphy et Audrey Hivon».
Chansons revisitées
Les Bebeats depuis leur fondation il y a quatre ans s’attaquent à diverses chansons de tous les styles. «Notre affaire, ça se passe dans la façon d’aborder une chanson», résume Christian Laflamme.
Alors, nombreux seront les curieux qui voudront entendre des pièces de Gainsbourg, Jean Leloup, Bernard Lavilliers, Louba et tant d’autres être «revisitées» par les Bebeats.
«Nous avons eu l’occasion cette année de chanter lors de L’International de l’art vocal au Parc portuaire; c’est là que beaucoup de gens ont réalisé que ce que nous faisions pouvait s’adresser à un public familial», explique Fabiola Toupin qui espère que certains diffuseurs invités pour les circonstances vont pouvoir par la suite offrir au groupe des engagements.
«C’est l’occasion pour le public de participer, de laisser tomber ses inhibitions; ça coûte moins cher que d’aller chez un psy», argumente Christian Laflamme
Je veux y alleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeer
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Cilou[/center]